En 2024, la qualité de vie au travail (QVT) est sur toutes les lèvres, pourtant le burn-out et l’épuisement professionnel sont en recrudescence.
Stress, charge mentale, fatigue émotionnelle, tensions physiques et morales sont autant de maux à prendre au sérieux. La clé du bien-être au travail ? Un processus continu qui s’adapte aux contextes changeants.
Alors, y a-t-il une recette miracle ? Pas vraiment. Mais la psychologie positive, introduite par Martin Seligman en 1998, nous offre des pistes. Elle étudie le bien-être durable, se concentrant sur ce qui rend les gens heureux plutôt que sur ce qui les rend malheureux.
Les trois principes de la psychologie positive :
Le bonheur se construit consciemment : il ne s’agit pas seulement de savoir, mais de pratiquer quotidiennement des habitudes positives comme la gratitude et la reconnaissance.
Équilibre des émotions : pour un bon équilibre émotionnel, vivez plus d’émotions positives que négatives. Compensez les moments de stress par des actions positives.
Focus sur l’essentiel : choisissez de focaliser votre attention sur les aspects positifs de votre journée, plutôt que de vous attarder sur les aspects négatifs.
Quel est le lien entre QVT et psychologie positive ?
Les ressources psychologiques sont aussi importantes que les ressources matérielles et financières. Les entreprises doivent donc mesurer et valoriser le bien-être des collaborateurs. Au-delà des gadgets comme le baby-foot ou la corbeille de fruits, il est essentiel de cultiver un environnement de travail positif et de former les employés à la psychologie positive.
En conclusion, la qualité de vie au travail est un processus évolutif qui demande une attention constante et des pratiques positives.
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